L'OEIL DE EUDES 27 NOV

Publié le par eudesexprime

La  colère des citoyens montent à nouveau, et de plus en plus les voix s’élèvent et ne dégagent que contestations. Mais de moins en moins elles font écho, celles qui portent des propositions. Un hiatus que les parutions de ce matin, pourtant brisent avec Richard Sènou fait la une de plusieurs canards ce mercredi. L’intervention de L’ancien fonctionnaire  de la banque mondiale sur AFRICA 24 est largement relayée ce matin. FRATERNITE résume son passage et souligne qu’il a fait quatre propositions pertinentes. Connu pour son franc parler dira mon confrère, Richard Sènou estime, que les éléments qui affectent la croissance sont la faible compétitivité du port,  la mauvaise performance de la production du coton, et le recul significatif de l’investissement direct étranger lié à une faiblesse du dialogue secteur public privée. L’économie Béninoise est alors dans une phase délicate, tel qu’il le précise à la une Du POTENTIEL.  Le journal publie d’ailleurs l’intégralité de l’entretien. Et Il y a encore ce leitmotiv. La rupture du dialogue secteur  public privé. Sans sa reprise point de croissance. Le new deal de Richard Sènou est donc développé dans  la nouvelle gazette, qui ce matin traite aussi la même actualité.  L’agro industriel qui combine l’agriculture et l’industrie alimentaire doit recevoir un coup de fouet. Il faudra par ailleurs aller a l’expérience de l’économie numérique selon Richard Sènou, qui donne les chiffres d’un rapport Mc KINSEY qui démontre que 700.000 emplois ont été crées en France sur 15 ans dans ce secteur. Des propositions judicieuses, qualifie alors ACTU EXPRESS, quand la NOUVELLE GENERATION en vient à conclure que c’est le caractère indispensable du secteur privée que Richard Senou évoque ainsi. Et c’est la RELEVE INFO qui tranche le débat. Selon l’invité de Africa 24, seul le secteur privé aujourd’hui peut créer non seulement l’emploi mais aussi la richesse pour l’atteinte d’une croissance durable.   C’est pour cette raison qu’a travers  ce new deal, il prône justement selon la RELEVE INFO, un nouveau partenariat pour le développement du bénin. Mais le secteur privé est bien au cœur des discussions entre Boni YAYI et les députés de sa majorité. Au cœur des débats, mais en difficulté. L’affaire c’est la SODECO, et voici les faits. C’est FRATERNITE qui introduit que le chef de l’état a rencontré les députés. Pendant 4 heures, il a sollicité l’appui des parlementaires pour un combat spécial qu’il entend mener. Un discours fleuve diront les sources, au cours duquel il a laissé transparaitre son animosité pour les privées dans l’affaire SODECO. Mais curieusement, un a un les députés présents n’ont pas fait dans la dentelle pour opposer un refus catégorique a Boni YAYI. Seule une poignée timide a tenté d’épauler le chef, écrit le journal, qui affirme que ce fut la désillusion pour Boni YAYI. Il a donc tenté de démarcher les députés pour un braquage économique analyse LE MATINAL. Mon confrère va plus loin et mentionne que Cyriaque Domingo par exemple a fait savoir au chef de l’état de se remettre en question. Mais pour convaincre le reste de la troupe, Le MATINAL renseigne que le chef est allé jusqu'à comparer Patrice TALON a un autre opérateur économique très prospère Sébastien ADJAVON,  qui ne serait pas en odeur de sainteté auprès du fisc.  YAYI veut alors dribbler le peuple Béninois en organisant ce conclave remarque LA NOUVELLE TRIBUNE car il envisagerait de faire voter une loi pour contourner le caractère illégal de son action dans le dossier SODECO. Mais l’entreprise ne peut prospérer car les réquisitions ne font pas partie du droit béninois. La loi bloque déjà YAYI met   nouvelle Expression a sa une et c’est justement LIBERATION qui donne plus de détails sur ce que dit la loi. Les réquisitions et nationalisations sont impossibles au bénin, murmure la publication qui cite l’article 22 de la constitution. Tout ceci ne rassure pas : Et la presse du jour tout en se demandant pourquoi YAYI en veut autant a TALON KOUKPAKI ET ADJAVON constate dans le même temps l’agonie du secteur privée qui ne cesse de s’enfoncer sous le poids des multiples manœuvres de la refondation.  C’est donc une évidence, la SODECO a pris le pas sur la LEPI. Car au sujet de la liste électorale, c’est toujours le statu quo, comme le confirme ce matin DJAKPATA. Mais certaines personnalités y pensent toujours. C’est le cas de Victor TOPANOU qui a la une de l’indépendant, interpelle le Gouvernement. Le président du FUR introduit le canard, a fustigé le retard que connait la réalisation de cette liste. Il y a aussi retard au parlement concernant l’examen du budget exercice 2014. La nouvelle trône a la une de ADJINAKOU. Mais visiblement, il y a des menaces sur l’examen du projet nous apprend L’AUTRE QUOTIDIEN. Les députés souffle mon confrère, en commission, ont évoqué le problème de la non application de la loi organique portant loi des finances pourtant promulguée par le gouvernement. Cependant la date de l’examen de ce budget en plénière  est déjà retenue. LE PROGRES ET LA NATION avancent le 17 décembre.

Dans la dernière minute : la politique revient avec Jean Gounnongbé a la une de L’autre vision qui se prononce sur les crises au sein des FCBE. Selon lui l’alliance vivra au delà de 2016 et tiendra la route. C’est en clair ce qu’a  dit aussi Benoit DEGLA, il y a quelques jours mais qui fut mal interprété. LE POTENTIEL ET LA NOUVELLE GENERATION éclairent l’opinion ce matin, et révèlent l’intégralité de la phrase de l’ancien ministre de l’intérieur. Boni Yayi partira en 2016, mais restera a travers les FCBE , qui ne finiront pas comme UBF. Telle est la substance de sa déclaration qui a été façonnée, histoire de le faire passer pour un anti démocrate.

Et cette nouvelle pour finir, c’est à la une de l’évènement Précis, mais aussi de DJAKPATA. Une liste a consulter  avant de vous diriger vers une école supérieure Privée. En effet mes confrères publient la liste des écoles dont les filières master et Licence sont homologués par le ministère : 30 au total dont l’école supérieure de management ESM.

 

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