GOODBYE PRESIDENT

Publié le par eudesexprime

 Les repositionnements s'imposent et les départs se multiplient. Moukaram Badarou et Joel Aivo quittent la barque du PRD et fragilisent encore l'union fait la Nation. Mème si ces départs ne sont pas une grande perte pour l'UN , cela va de soit que c'est quand mème un maillon de la chaine qui une fois encore rompt. Est-ce le fort ou le faible? Là est la question.

                        L'euphorie de Adrien Houngbédji comme candidat unique de l'UN fut courte. De mème que l'ambition et le combat politique de certains de ces fidèles. Militant néanmoins du PRD depuis de longues années, Moukaram Badarou quitte son maitre à travers une lettre de démission qui exprime les frustrations et les déceptions du diplomé de l'Université Marien N'GOUABI au Congo. Les promesses non tenues de Mtre Adrien Houngbédji et la gestion hasardeuse du Parti du Renouveau démocratique sont les deux principaux faits dénoncés par le Secrétaire général du PRD. Il évoque aussi, l'animosité nourrit a son égard par le Président du Parti. 

                       Moukaram Badarou Député. C'est un rève que Houngbédji a brisé . Les dénonciations du mécontent du PRD sont illustrées dans sa lettre. Il affirme que le président ne l'aime pas, mais qu'il lui a promis l'hémicycle et un avenir politique, mème sans grand moyen financier. La duperie de Adrien Houngbédji à l'égard de son poulain était prévisible et montre une fois encore la face cachée d'un homme qui politiquement à évolué ces dernières années à tatons et sans grandes convictions, vu les choix hasardeux  et surtout l'étiquette de traitre que lui ont collé ces amis de la RB. Houngbédji est donc comme ca. Et les partis politiques sont question de sous.

                     Sous un autre angle, Badarou et Compagnie ne valent pas grand chose .Coté mobilisation. Seulement, il font partis de ces jeunes sur qui,  le PRD peut reposer et établir les bases d'une relève de qualité. Mais bien évidemment il ne suffit pas d'avoir des diplomes pour atteindre les sommets de la sphère politique. Il faut aussi l'oseille et une foule derrière. Atao Hinnouho, Ibatou Glèlè et autres l'ont, Badarou lui, non.

                     Houngbédji paiedonc  le prix de son amour pour les riches et noie petit à petit l'union fait la nation qu'il quittera lui mème dans quelques mois. Mais le départ de son directeur de cabinet et de son secrétaire général qui ont également des fonctions au sein de l'UNION donnent raisons à Léhady et autres et confirme la thèse d'une implosion future de l'intergoupe avant les prochaines communales .


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